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Transferts LAF 2021-2022

Cazaute en italie

Salvagni et Vanjak restent à Mulhouse

https://www.volleynews.it/lo-scudetto-di-francois-salvagni-una-vittoria-che-ripaga-tanti-sacrifici/

Traduction de l'article :

Le Championnat de François Salvagni : "Une victoire qui récompense de nombreux sacrifices".

La Ligue A féminine française a été pendant de nombreuses années le point de chute privilégié des entraîneurs italiens : Micelli, Schiavo, Orefice, et jusqu'à l'année dernière Marchesi. Et puis François Salvagni, qui a la France dans son prénom et l'a "conquise" il y a quelques jours en remportant, avec l'ASPTT Mulhouse, le premier championnat de sa carrière et le deuxième de l'histoire du club. Un succès obtenu avec deux jours d'avance, dans le seul championnat européen qui ne prévoyait pas de play off, et sur la lancée d'une saison magique avec 18 victoires consécutives. Une performance inattendue pour les alsaciens eux-mêmes, comme l'a confié Salvagni à nos micros :

"Nous ne nous y attendions absolument pas, notamment parce que nous avons très mal commencé la saison, en ne jouant pas un bon volley-ball et en perdant la Coupe 2019-2020 (récupérée en septembre, ndlr). C'était une année à construire sur la durée, et le point positif est que nous avons réussi à gagner plusieurs matchs même lorsque nous jouions mal : c'est tout à l'honneur du groupe, car nous avons 12-13 excellentes joueuses et à chaque fois quelqu'un a mis du sien. Mais jusqu'à Noël, nous n'étions toujours pas en mesure d'exprimer notre potentiel et au classement, nous étions tous groupés".

Et ensuite, qu'est-ce qui a changé ?

"Eh bien, après de nombreux sacrifices et beaucoup de travail, l'équipe a commencé à jouer très bien. À mon avis, les deux "bulles" de la Ligue des champions que nous avons jouées nous ont beaucoup aidés à élever le niveau. En championnat, nous avons définitivement changé de vitesse et montré une autre qualité de jeu. Dans les 5 derniers matchs, nous avons ressenti un peu de pression : il était très important de gagner contre le Volero de Micelli pour comprendre que nous pouvions le faire. Ensuite, à Béziers, cela aurait pu se terminer de n'importe quelle manière, mais gagner le match directement était la meilleure façon de conclure".

La pandémie de coronavirus a mis le volleyball mondial à rude épreuve, mais surtout le volleyball français. Comment l'avez-vous vécu ?

"Nous avons eu la chance de pouvoir continuer à jouer, mais pour le reste, c'était difficile. Nous avons perdu notre team manager en décembre, j'ai personnellement vécu le décès de ma mère, et je n'ai pu voir mes enfants qu'une seule fois. Nous avons fait des voyages dans un pays désert, chacun mangeant dans sa propre chambre d'hôtel et ne pouvant se faire plaisir même à la maison, l'Alsace étant la région la plus touchée par la première vague. Je me rends compte que certains ont beaucoup souffert ou ont dû fermer leur établissement, mais c'était difficile pour nous aussi. C'est également pour cette raison que les filles ont canalisé toutes leurs énergies pour réaliser quelque chose d'important qui récompenserait leurs nombreux sacrifices."

Quel type de championnat est le championnat français ?

"Je souris quand on me dit que c'est une ligue de bas niveau. Je pense au contraire que le niveau technique s'est beaucoup élevé : il y a de grands entraîneurs, beaucoup d'Italiens, nous jouons un bon volley-ball. Le dernier championnat était d'excellente qualité et cela se traduit également par notre performance et celle de Béziers en Europe. Bien sûr, nous ne sommes pas au niveau de l'Italie, mais personne ne l'est, pas même la Turquie... mais beaucoup de joueuses sont passées par la France et se sont illustrées dans les championnats internationaux, de Haak à Herbots".

A ce propos, en Ligue A, y a-t-il des joueuses sur la rampe de lancement pour le championnat italien ?

"Il y en a beaucoup, en fait vous en verrez déjà plusieurs l'année prochaine. L'une d'entre elles est notre attaquante Hélena Cazaute, et pour moi le fait qu'elle ait gagné un contrat en Serie A est une fierté et une médaille personnelle, car c'est elle qui m'a demandé de l'aider à atteindre cet objectif. On parle aussi beaucoup d'Ivana Vanjak, mais elle restera avec nous une année de plus, justement parce qu'elle a l'intention de grandir encore et de se présenter ensuite en Italie comme une joueuse de premier plan".

La France est le seul pays européen où les volleyeurs sont des travailleurs professionnels, un sujet dont on parle beaucoup aussi en Italie. Qu'en pensez-vous ?

"Dans la situation actuelle, cela nous a beaucoup aidés. L'année dernière, lorsque l'activité a été suspendue, nous avons reçu de l'État la prime de chômage à 85 %, en plus des cotisations de retraite et de tous les avantages de la procédure. Mais je veux être très clair : si vous voulez du professionnalisme, il faut que toutes les composantes, des joueuses aux agents, soient prêtes à mettre la main à la poche. Car la réforme, si elle a lieu, aura un coût économique et probablement aussi un coût technique : les joueuses gagneront moins et certaines choisiront d'aller ailleurs. Mais j'espère que cela arrivera, car avoir plus de solidité est la seule façon de se développer".

 

CONCLUSION DE L INTERVIEW 

CAZAUTE  va bien partir mais VANJAK reste un an de plus 

 

Je suis curieux de savoir où elle va jouer . Firenze ?

Encore une joueuse annoncée à TRENTO . Il s ' agit de l' Espagnole de  LEGIONOWO  , Jessica RIVERO MARIN  . Cela commence à faire beaucoup et je pense qu ' il vaut mieux attendre la fin du championnat italien le 20 ou le  24 Avril , pour avoir des informations fiables .

Citation de victor le 15 avril 2021, 10 h 13 min

Je suis curieux de savoir où elle va jouer . Firenze ?

Je verrais bien une autre française à Firenze.... 😋

Je cherche 

 Une autre française capable de jouer en ITALIE ?

SYLVES ? 

ou Bauer

Citation de victor le 15 avril 2021, 19 h 51 min

ou Bauer

j hésitais entre les 2  mais BAUER , maintenant , à 33 ans je n y crois pas 

Et je n ' en vois pas d autre .

Fin de contrat pour Amandine Giardino au Cannet. Il ne sera pas renouvelé.

Citation de sudo le 16 avril 2021, 1 h 25 min

Fin de contrat pour Amandine Giardino au Cannet. Il ne sera pas renouvelé.

es tu sur de ta formulation : il ne sera pas renouvelé ou bien elle ne souhaite par renouveler ?

Citation de le blaireau le 16 avril 2021, 8 h 32 min
Citation de sudo le 16 avril 2021, 1 h 25 min

Fin de contrat pour Amandine Giardino au Cannet. Il ne sera pas renouvelé.

es tu sur de ta formulation : il ne sera pas renouvelé ou bien elle ne souhaite par renouveler ?

Dans les 2 cas, il n’est pas renouvelé. Mais tu as raison, la formulation peut prêter à confusion. 
Je reformule donc : Amandine Giardino quitte le club du Cannet. 

Elle vient juste d ' avoir 26 ans . Une jeunette .

Pas de problème pour trouver un club .

Citation de donatien34 le 16 avril 2021, 8 h 53 min

Elle vient juste d ' avoir 26 ans . Une jeunette .

Pas de problème pour trouver un club .

si elle a déjà trouvé tant mieux. sinon il ne faut pas croire, pas si facile que ça.

Citation de victor le 15 avril 2021, 19 h 51 min

ou Bauer

Pour moi ce serait une surprise qu'un club italien recrute Sylves.....je vois d'autres centrales évoluant en France Stone, Brown , Farriol par exemple mais surtout  beaucoup d'autres centrales en pologne et russie notamment qui savent attaquer une basket et suivre le jeu d'attaque adverse avec plus de clairvoyance mais bon à l'étranger aussi les recrutements parfois ....

Citation de victor le 16 avril 2021, 10 h 18 min
Citation de victor le 15 avril 2021, 19 h 51 min

ou Bauer

Pour moi ce serait une surprise qu'un club italien recrute Sylves.....je vois d'autres centrales évoluant en France Stone, Brown , Farriol par exemple mais surtout  beaucoup d'autres centrales en pologne et russie notamment qui savent attaquer une basket et suivre le jeu d'attaque adverse avec plus de clairvoyance mais bon à l'étranger aussi les recrutements parfois ....

Si c'est comme au rugby, parfois pour avoir un bon joueur  il te faut en prendre un de moins bon voir très mauvais  . Surtout dans les clubs les moins huppés

Il semblerait que JULIE OLIVEIRA SOUZA  quitte son club de LEGIONOVIA LEGIONOWO .

Oui Donatien et apparemment aimerait faire un retour dans le championnat de France..

Citation de domingo le 17 avril 2021, 12 h 31 min

Oui Donatien et apparemment aimerait faire un retour dans le championnat de France..

MERCI 

 Ah ah  Intéressant .

je l'écris dans cette rubrique réservé aux "inscrits" par courtoisie mais l'analyse de l'émission sheo sport sur le volley féminin français de Magail et des animateurs qui sont assez sûrs d'eux pour y adhérer est à mourir de rire si on a un sens de l'humour très très développé. Je m'attends à des remarques "qui es tu toi ? " mais dans le volley français plutôt que "qui es tu pour dire cela " les professionnels feraient bien de s'interroger sur ce qu'ils disent et font eux .....Après dans cette émission pour dépasser le volley féminin français il y a des choses qui sont dites de manière très affirmatives et complètement incohérentes . Pour étayer mon propos je n'en citerai qu'une : l'animateur indique qu'en amérique du nord la proportion de licenciés est 80% filles 20 % garçons et comme en france ce serait 50 % 50% cela expliquerait l'écart entre les performances des filles et des garçons .  Je lui ferai donc remarquer son propos consistant à dire que plus" la base est grande meilleur est le niveau "( ce qui expliquerait la faiblesse des françaises suggestion très approuvée par Magail) est complètement incohérent puisque les équipes canadiennes et américaines masculines dont la base est donc très faibles (20 contre 80) ont des résultats au moins équivalents voir meilleurs que les équipes féminines .

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