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Neptunes de Nantes

Pour ouvrir un sujet sur Nantes, un reportage sur la formidable passeuse Kanami Tashiro :

 

 

Désolé, je n'arrive pas à insérer la vidéo.

A défaut, le lien :

Merci @ben44, ce fil sur Nantes qui est un club majeur de la Ligue A depuis des années manquait.

D'abord, en ce qui concerne les Neptunes de Nantes, anciennement VB Nantes, je trouve que c'est un grand club qui a toujours su intégrer de jeunes françaises et qui, malheureusement pour lui, n'a jamais eu de chance en finale (2014 et 2019 en LAF, 2014, 2016 et 2019 en Coupe de France).
C'est aussi un club grand par sa base de fans qui peut remplir à ras bord le stade, avec une superbe communication, une grande activité médiatique (journalistique, radiophonique, télévisuelle et sur le net), il faut féliciter l'organe de com du club.
Ce club est un exemple à suivre, comme pour celui de Mulhouse.

Quant à la joueuse japonaise Kanami Tashiro, je ne me sens pas légitime pour en parler.
Par contre, j'ai cru comprendre que @shaka avait de bonnes connaissances sur l'équipe nantaise.

 

Citation de BadCat le 13 juillet 2022, 9 h 50 min

Merci @ben44, ce fil sur Nantes qui est un club majeur de la Ligue A depuis des années manquait.

D'abord, en ce qui concerne les Neptunes de Nantes, anciennement VB Nantes, je trouve que c'est un grand club qui a toujours su intégrer de jeunes françaises et qui, malheureusement pour lui, n'a jamais eu de chance en finale (2014 et 2019 en LAF, 2014, 2016 et 2019 en Coupe de France).
C'est aussi un club grand par sa base de fans qui peut remplir à ras bord le stade, avec une superbe communication, une grande activité médiatique (journalistique, radiophonique, télévisuelle et sur le net), il faut féliciter l'organe de com du club.
Ce club est un exemple à suivre, comme pour celui de Mulhouse.

Quant à la joueuse japonaise Kanami Tashiro, je ne me sens pas légitime pour en parler.
Par contre, j'ai cru comprendre que @shaka avait de bonnes connaissances sur l'équipe nantaise.

 

Bonjour bonjour,

Non pas spécialement de connaissance sur cette équipe nantaise. Du moins pas plus que d'autre

Mon regard amateur a hâte de voir la saison qui arrive avec une réception sur le papier qui semble meilleur. 
Sa créativité peut être sensationnelle mais il faut les conditions pour cela.

Affaire à suivre avec un projet Neptunes ambitieux 
En tout cas , le groupe l'est avec tous ses postes doublés !

Entretien Ouest France

"César Hernandez Gonzalez (45 ans) est le nouvel entraîneur des Neptunes de Nantes, où il a signé pour un an (plus un en option). Il était de passage dans la cité des Ducs. L’occasion de se livrer sur son retour en France dans la peau d’un entraîneur n°1, ses différentes expériences et ses ambitions pour la saison prochaine.

Quand on est adjoint du champion d’Europe 2022 et 2023, pourquoi donner suite à la proposition des Neptunes ?

J’ai passé neuf ans en tant qu’entraîneur adjoint en Italie, en Azerbaïdjan, en Turquie et en France aussi. Mais j’avais toujours cette envie de revenir travailler en tant qu’entraîneur n°1, comme j’ai pu le faire avant en Espagne. J’ai rejoint l’équipe nationale de Corée du Sud il y a un an, comme entraîneur principal. Avec le Vakifbank, je sens que j’ai fait le tour du sujet en tant qu’adjoint. Aux côtés de Giovanni Guidetti, mais aussi avec Stefano (Lavarini) en Corée du Sud et Carlo (Parisi) en Italie, j’ai appris beaucoup et maintenant je pense que c’est le bon moment pour travailler de nouveau comme entraîneur principal dans un club. Les Neptunes comptent sur moi, Sylvain (Quinquis) compte sur moi, je suis heureux de venir ici et de faire partie du projet.

Quels sont vos objectifs avec les Neptunes ?

Je veux qu’on se batte pour le titre dans toutes les compétitions auxquelles nous participons, que ce soit la Ligue AF, la Coupe de France ou la Challenge Cup. Nous allons tout faire pour donner le meilleur de nous-même.

Qu’avez-vous appris aux côtés de Giovanni Guidetti, au Vakifbank ?

Avec Giovanni, c’était une très bonne expérience. Pendant quatre ans j’ai appris beaucoup de choses sur le volley, mais aussi sur le management de ce type d’équipe, dont le but est de tout gagner. J’ai appris comment communiquer avec les joueuses pour atteindre un objectif commun. Au Vakifbank, la pression était très élevée. Aux côtés de Giovanni, j’ai donc appris comment contrôler la situation quand tu vis chaque jour avec cette pression de vouloir tout gagner. Giovanni m’a montré toutes ces choses, maintenant c’est à moi de les mettre en application. Puis il était mon patron en club, mais aussi mon ami. D’ailleurs, nous sommes toujours en contact.

Que pensez-vous pouvoir apporter aux Neptunes ?

Ma façon de travailler, ma personnalité en tant qu’entraîneur. J’ai une idée précise à propos du volley, que je vais tenter de mettre en place ici. Au quotidien, je veux que les joueuses apprennent de nouvelles choses, s’améliorent sur le terrain, qu’elles donnent le maximum d’elles-mêmes. Mais nous sommes aussi ici pour profiter. Les joueuses, comme moi, aiment le volley. Donc je veux aussi qu’elles prennent du plaisir lors de chaque entraînement. Même s’il y a des moments qui seront plus difficiles, je veux que nous grandissions, que nous profitions et que nous passions au-dessus de ces difficultés.
« Développer des jeunes joueuses »

N’est-ce pas trop difficile d’arriver dans une équipe où le recrutement est déjà fait en grande partie ?

D’abord, je suis heureux de la manière de travailler de Sylvain, je trouve qu’il fait un super travail. C’est vrai que je ne pouvais pas choisir les joueuses que le club allait recruter, mais je suis vraiment heureux avec le groupe que nous avons. Il y a différents profils, avec des joueuses plus expérimentées, des jeunes joueuses, des joueuses étrangères, des joueuses françaises… Je pense que c’est un très bon mélange.

Et n’est-ce pas aussi difficile de travailler avec un staff que vous ne connaissez pas ?

Non, je dirais plutôt que c’est différent d’où j’ai pu travailler avant. Bien sûr, ils vont me montrer de nouvelles choses, de nouvelles idées. Je suis une personne très ouverte, j’ai beaucoup bougé et j’ai travaillé avec différents staffs. Je suis habitué à ce genre de challenge, à travailler avec des gens que je ne connais pas vraiment. Et j’aime ça, parce que ça me pousse à peut-être expliquer plus précisément les choses, peut-être à travailler plus. Donc je trouve que c’est très positif pour moi et je suis très heureux. Parce que si on travaille tout le temps avec les mêmes personnes, on reste dans une zone de confort et on ne progresse jamais.

On imagine que vous aviez des moyens plus importants à Istanbul, notamment en termes de staff, comment s’adapter à Nantes ?

La clé est de travailler plus. Si on a moins de personnes, nous allons travailler plus. Nous devrons peut-être nous adapter à cette situation, notamment pour les entraînements. Mais nous allons nous adapter selon ce que nous avons à disposition et faire en sorte que tout se passe du mieux possible.

Quelles sont les forces et faiblesses de votre groupe ?

Je ne sais pas vraiment, parce que je n’ai pas encore pu travailler avec le groupe. Je sais qu’elles ont fait de très bonnes choses la saison dernière. Il y a une bonne mentalité, que nous allons encore essayer d’améliorer. Je dois voir ces joueuses, je dois travailler un peu avec elles, pour savoir plus ou moins quelles sont nos forces et, à l’inverse, ce que nous pouvons améliorer. J’ai déjà une idée de ce que nous pouvons faire, mais j’ai besoin de vérifier si les joueuses peuvent produire le type de volley que je souhaite. Mais comme je l’ai dit, je suis heureux avec ce groupe, je pense que nous pourrons faire de belles choses.

Vous retrouvez-vous dans la philosophie des Neptunes, qui consiste à essayer de lancer des jeunes joueuses ?

C’est quelque chose que j’aime. Je considère que quand on travaille dans un club, ce n’est pas seulement l’équipe première. Je pense que c’est important pour le club de développer des jeunes joueuses et j’en ai besoin dans mon groupe. D’ailleurs, je le fais aussi en Corée, j’appelle des jeunes joueuses parce que je veux leur donner de l’expérience, parce qu’elles seront le futur de l’équipe. À Nantes, nous aurons une connexion avec notre académie et bien sûr nous allons appeler des joueuses de l’académie pour travailler avec elles, pour essayer d’avoir une philosophie commune entre l’équipe professionnelle et l’académie.

Justement, quelle philosophie de jeu prônez-vous ?

Pour avoir des résultats, j’estime que nous devons surtout bien jouer et suivre le plan établi. Après, nous faisons face à l’adversaire et peut-être que l’adversaire peut mettre en place quelque chose de différent face à nous. Donc nous devons être prêts à adapter notre plan de jeu à la situation que l’adversaire va nous proposer pendant les matches. Nous devons trouver le meilleur moyen de performer face à l’adversaire que nous aurons en face, que ce soit Paris, Béziers, Mulhouse, Vakifbank…
« Heureux de revenir en France »

Quel profil de volley aimez-vous ?

J’aime avoir une équipe bien organisée en bloc-défense. Pour mettre en place ce que je veux, les joueuses doivent suivre cette idée de bonne organisation. Mais j’aime aussi que l’on se montre agressif en attaque, agressif au service. Donc je ne sais pas, c’est difficile de dire’’j’aime beaucoup la défense’’ car à la fin, en volley, tu dois attaquer. Mais j’ai besoin de voir une équipe bien organisée et qui joue un bon volley, le volley que j’ai en tête. Et ce volley est d’essayer de couvrir le terrain du mieux possible. Je pense que si nous faisons ça, le résultat suivra. Le résultat ne viendra pas car nous voudrons gagner, il viendra car nous jouerons un bon volley.

En quoi votre expérience à la tête de la Corée du Sud vous sert ou peut vous servir comme n°1 en club ?

La Corée du Sud, c’est vraiment sympa. Ce n’est pas seulement un autre pays ou un autre continent, c’est aussi une autre philosophie de travail, une autre philosophie de vie. Ils sont culturellement très différents de nous. Donc cela m’a aussi obligé à sortir de ma zone de confort. C’est vrai que nous n’avons pas de grands résultats en compétition, mais l’équipe progresse et nous devons faire face à un changement de génération. Je travaille avec des joueuses qui n’ont pas une grande expérience du niveau international. Donc nous sommes en train d’essayer de développer des joueuses pour le futur et pour le présent. J’apprends beaucoup car tous les jours nous devons essayer de trouver de nouveaux moyens de travailler, nous devons essayer de développer les joueuses techniquement, tactiquement, physiquement.

Après votre passage au Cannet en 2016-2017, quel souvenir gardez-vous de la Ligue A féminine ? Comment jugez-vous son évolution ?

Mon souvenir est très bon, même si nous arrivons jusqu’en finale et que nous perdons 3-2 contre Mulhouse après un dernier match terrible… Nous étions très proches de gagner. En championnat, il y a 6 ou 7 équipes avec un niveau assez proche. Il n’y a pas deux équipes fortes qui se détachent. Donc il y aura beaucoup de matches importants pendant la saison et nous devons être prêts. Mes souvenirs sont vraiment bons, je pense que le niveau a progressé depuis quelques années et progresse toujours. Puis j’ai regardé quelques équipes qui évoluaient en Ligue des champions. Avec le Vakifbank, nous avons joué contre Mulhouse par exemple. C’est une équipe de bon niveau, je suis heureux de revenir dans ce championnat.

Quelle est votre devise, si vous en avez une ?

Je n’en ai pas vraiment. Mais par exemple au Vakifbank, nous avons travaillé avec cette phrase : “La pression est un privilège que nous méritons.” Là-bas, tu es le favori et tu ressens la pression dans toutes les compétitions. Quand tu es prêt à jouer la Ligue des champions, tout le monde dit “ah, le Vakifbank va gagner la Ligue des champions”. Bien sûr, toutes les joueuses sentent cette pression. Mais cette pression’’se mérite’’ car il s’agit d’un grand club. Et c’est quelque chose que je veux insuffler, parce que je veux tout gagner ici, à Nantes. Je veux créer chez les joueuses l’idée que nous voulons gagner chaque match, chaque set, chaque échange et toutes les compétitions auxquelles nous participons. Mais pour le moment, nous ne sommes pas les vainqueurs. Le Cannet a gagné le championnat, Béziers a gagné la Coupe de France, donc il y a d’autres équipes qui ont l’habitude de gagner. Nous voulons faire partie de ces équipes, trouver notre manière d’être compétitifs et agressifs quand nous sommes sur le terrain.

Un grand merci @Ben44 pour avoir partagé l’article de Ouest-France avec nous. J’étais un peu frustré de ne pouvoir le consulter librement sur le partage facebook du club 😉

En parlant de Nantes, que devient Cyril Ong ?

Il continue avec l'équipe de France ? A-t-il retrouvé un club ?

Les Neptunes officialisent l'arrivée de Sabrina Dridi au poste d'entraîneur du centre de formation.

Sabrina DRIDI, nommée au centre de formation

Une information sur le site des Neptunes de Nantes "nous envisageons de lancer le projet d’actionnariat populaire."

Cela existe-t-il déjà en volley ?

REALITES et les Neptunes saluent le remarquable parcours des volleyeuses

et une interview de Monique Bernard dans "Ouest France"

« On négocie pour qu’elles restent »

"Réalités, la société de promotion immobilière, détient le club des Neptunes. Sauf qu’avec « la situation immobilière actuelle », une baisse au niveau budgétaire est attendue. « Quand un patron voit que sa boîte va mal, qu’il doit limoger des salariés, il ne va pas libérer plus d’argent », lance la présidente de la section volley professionnel. Au siège de cette entreprise, qui a accueilli les joueuses après leur finale ce mardi matin, elle poursuit : « On s’ouvre alors à des financements extérieurs en plus de Réalités. On s’appuie sur nos performances et à l’image qu’on donne. Après, j’ai toujours cru en ma bonne étoile. »

Avec la potentielle Ligue des champions, et toutes les dépenses qui suivent pour « participer et rivaliser », cette recherche d’argent est devenue une priorité du club. Il ne peut pas se satisfaire de la billetterie et les services lors des matches, malgré une augmentation « de 60 % de spectateurs en un an ». Les Neptunes savent pourtant attirer du public… et le faire consommer. Lors de cette soirée de finale à la Trocardière, le club a encaissé autant de recettes (billetterie et buvette) qu’une saison entière du VBN, nom de l’équipe avant de rejoindre les handballeuses des Neptunes.

Aussi, l’argent ne fait peut-être pas le bonheur, mais il facilite les négociations. D’abord pour recruter, mais aussi pour conserver des Neptunes très convoitées, comme les Américaines Mims et Keene. Monique Bernard poursuit : « On négocie avec elles pour qu’elles restent. Ce sont des joueuses importantes. Mais il y aura peut-être des propositions qui seront nettement supérieures à la nôtre. Les jeunes femmes n’ont pas des années et des années devant elles pour avoir une carrière pro et gagner leur vie. Donc, c’est normal qu’elles puissent exploiter leurs qualités sportives s’il y a des contrats ailleurs. » Même chose avec leur entraîneur espagnol, sous contrat seulement un an : « On veut le garder ! » Pour lui, les promesses d’effectif et de moyens devraient aussi peser dans la balance."

Cet article publié la semaine dernière confirme celui qu'a partagé @ben44 dans le message précédent :

https://www.ouest-france.fr/sport/volley/nantes-vb/neptunes-nantes-dans-quel-sport-on-a-le-plus-de-chances-de-briller-se-questionne-choin-joubert-282a2ba2-f298-11ee-b9d6-e26e1f1545b0

Citation de chico34 le 24 juillet 2023, 18 h 06 min

En parlant de Nantes, que devient Cyril Ong ?

Il continue avec l'équipe de France ? A-t-il retrouvé un club ?

Il était  en UKRAINE  , entraineur adjoint de MAURICIO PAES dans le club masculin  d 'EPICENTER  PODOLYANI , et aux dernières nouvelles les deux viennent d ' être nommés à la tête de l ' équipe d' IRAN .

Cyril Ong a été nommé entraîneur adjoint de l’équipe nationale masculine de volleyball de l’Iran.

L’entraîneur français a récemment travaillé à l’Epicentr-Podolyany en Ukraine.

Mercredi, la fédération iranienne de volleyball a nommé Mauricio PAES au poste d’entraîneur-chef de l’équipe Melli.

L’entraîneur brésilien de 61 ans a récemment travaillé à  EPICENTER PODOLYANI ;

PAES a été nommé sélectionneur de l’Iran jusqu’à la fin des Jeux olympiques de 2024, avec une option de prolongation de deux ans supplémentaires.

 

Quant à l' équipe de FRANCE  c ' est ANDRE SA  l' entraineur de VANDOEUVRE   qui a été appelé  comme adjoint .

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